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La libido? Quelle libido?

Est-ce qu'on a toujours autant envie de faire l'amour à 40, 50 ou 60 ans?

Modifié le :
2009-12-09 10:58
Publié le :
2008-11-16 08:58
Par:
Karine Vilder

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La libido top niveau!

Je viens à peine de souffler mes 40 bougies qu'on me commande déjà un article sur «La libido des femmes après 40 ans: en hausse ou en baisse?». Même si je ne suis pas pessimiste de nature, je ne vous cacherai pas que ça m'a fichu un coup: en plus d'avoir les cheveux qui grisonnent, les dents qui jaunissent, la peau qui ratatine et la carcasse qui grince, dois-je aussi m'attendre à ce que ma libido batte de l'aile?

L'angoisse au ventre, j'en ai spontanément parlé à quatre bonnes copines - Renée, Julie, Francine et Céline - dont l'âge oscille entre 43 et 49 ans. Elles travaillent toutes dans le domaine des finances, elles sont «libérées» et plutôt sexys. Portées sur la gaudriole? Nooonnn. Franchement, ça ne les intéresse plus tant que ça. Évidemment, si Patrick Dempsey sonnait à leur porte, l'œil coquin, elles n'y verraient aucun inconvénient. Mais regardons les choses en face: comme ce fantasme a peu de chances de se matérialiser, on ne peut pas dire qu'elles se mouillent beaucoup!

Pour mieux explorer le sujet, j'ai fait appel à Google, où j'ai tapé les mots «sexualité femmes 40 ans». L'horreur totale: ou bien je tombais sur des sites du genre «Vieilles salopes» et «Perverses matures» ou alors j'aboutissais sur des pages à teneur gériatrique. OK, en voilà trop. Je reprends ma démarche depuis le début et j'essaie d'attaquer le problème de front: est-ce qu'on a encore une libido après 40 ans, oui ou non?

L'honneur est sauf!

Premier constat: chaque femme est unique, et aucun modèle type ne se profile quand il est question de galipettes sous la couette. Et ce, peu importe l'âge. «Mais, en principe, la libido des femmes de 40 ans et plus est à son maximum», assure Jocelyne Robert, sexologue et auteure. «Elles ont de l'expérience, elles ont emmagasiné des fantasmes, elles savent ce qui les érotise et leur procure du plaisir. Dans les années 60, les chercheurs Masters et Johnson disaient d'ailleurs qu'en termes purement mécaniques le couple idéal serait formé d'une femme dans la quarantaine et d'un jeunot de 16 ans capable d'enchainer éjaculations et érections.»

Mieux encore: dans une enquête internationale menée en 2004 par le sociologue américain Edward O. Laumann, 71 % des femmes de 40 à 80 ans ont affirmé que la sexualité était une composante importante de leur vie quotidienne. Car, contrairement à celle des hommes, notre fonction sexuelle ne perd pas trop de plumes avec le passage du temps: elle reste intacte et n'affiche aucune date de péremption. Notre clitoris conserve toute sa sensibilité, et bon nombre de nos consœurs atteignent même plus facilement l'orgasme à mesure qu'elles vieillissent. Marie-Josée, une artiste «céli-battante» de 48 ans, le confirme. «Maintenant, je peux avoir quatre ou cinq orgasmes d'affilée, alors qu'avant j'en avais juste un. Il faut dire que j'ai raffiné ma technique et que je me connais davantage. Je suis plus à l'aise avec mon corps et aussi... plus olé olé au lit! Je dirais même que ma libido a grimpé de quelques crans.»

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Le sexe meilleur après 40 ans?

Dans le même ordre d'idées, je pourrais également citer les propos d'Éva, de Lucie, de Claire, de Mara, de Stéphanie, de Joanne et d'Annie, des femmes que j'ai interrogées en menant ma petite enquête. Aussi différentes soient-elles, toutes s'entendent sur un point: le sexe, c'est bien meilleur après 40 ans. Ouf! Il va falloir que j'en parle à mes quatre amies de longue date, parce qu'il semble qu'elles passent à côté de quelque chose de vraiment chouette.

Métro, boulot, dodo

Pourtant, elles ne sont pas les seules. «Les femmes dans la quarantaine sont généralement au sommet de leur carrière, en pleine effervescence professionnelle, explique Jocelyne Robert. Et à cause de cette vie trépidante, elles sont souvent épuisées, surtout si elles font l'effort de s'entrainer au gym et qu'elles ont des enfants. Dans une journée, il n'y a que 24 heures. Alors quels moments leur reste-t-il pour faire l'amour? La sexualité prend du temps, et elles n'en ont pas.»

Voilà, c'est dit. Entre les ados, le boulot, les tâches ménagères, les livres qui s'entassent sur la table de chevet et les cours de peinture ou de Pilates, mes bonnes copines sont trop débordées pour seulement songer à susurrer un «ouiii, continue»! Tout ce qu'elles souhaitent, une fois couchées, c'est se lover dans les bras de Morphée afin de pouvoir de nouveau enfiler leur uniforme de superwoman le lendemain. Troquer Morphée contre leur conjoint? «Les vendredis et les samedis soirs, ça m'arrive», concède Julie, la plus jeune du quatuor. «Par contre, le reste de la semaine, je suis trop prise par mes obligations pour avoir la tête au sexe. Pas parce que je n'aime pas faire l'amour, mais je sais que je serai incapable de me laisser aller si je suis claquée, stressée ou obsédée par un dossier. Comme c'est plutôt frustrant - autant pour moi que pour mon partenaire -, je préfère m'abstenir.»

Quel dommage, tous ces orgasmes gaspillés! Et il ne s'agit pas ici d'une quelconque panne de libido, mais simplement d'un manque de disponibilité. D'ailleurs, à en croire le sondage de Léger Marketing sur les pratiques sexuelles des Québécoises (réalisé sur Internet en janvier 2005), ce sont plutôt les femmes de 25 à 34 ans qui se précipiteraient à la pharmacie pour acheter un «boost libido», si une telle panacée existait. Pas les quadragénaires ni leurs ainées. Nous, on met simplement nos élans sexuels sur «Pause» en attendant de pouvoir en jouir pleinement une fois que la carrière sera bien lancée, que les enfants se seront envolés du nid et qu'on aura enfin plus de temps pour nous. «Depuis que ma clientèle est bien établie et que je n'ai plus à prouver quoi que ce soit, j'ai  redécouvert ce que c'était vraiment de faire l'amour», confie Nathalie, une esthéticienne de 53 ans. «C'est presque magique tellement on se sent bien après. Je me trouve bête de ne pas avoir compris plus tôt à quel point ça pouvait aider à relâcher les tensions, à refaire le plein d'énergie et à se sentir plus en confiance. Je le regrette d'autant plus que je commence à avoir des sautes d'humeur à cause de mes hormones...»

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Et la ménopause dans tout ça?

Et la ménopause dans tout ça?

La ménopause s'installe chez la plupart des Québécoises vers l'âge de 51 ans. Et si on se fie à la croyance populaire, elle entraine très souvent une chute de la libido. «Certains médecins prétendent que les femmes éprouvent moins de désir à la ménopause, mais c'est de la foutaise, s'exclame Jocelyne Robert. Nous ne sommes pas assujetties à nos hormones. La ménopause, c'est un passage plus ou moins long vers un nouvel équilibre, un tournant où on se rend compte qu'on arrive de l'autre côté de la pente, où on prend conscience de notre vieillissement. Parfois, elle s'accompagne d'une crise d'identité sexuelle, et ça ne se passe pas toujours bien. Comme quand on n'arrive pas à trouver la bonne fréquence d'un poste de radio. La sexualité, ça bouge, ça change, ça évolue et, parfois, ça bafouille!»

Le fait d'être célibataire depuis des lustres ou d'être engluée dans une routine conjugale réglée au quart de tour peut aussi freiner nos ardeurs sans que la ménopause y soit pour grand-chose. «Pendant presque deux ans, j'ai repoussé les avances de mon mari en mettant ça sur le compte de ma phase "hormones en folie"», raconte Marie-Christine, 55 ans, conseillère en placement. «En fait, c'était un prétexte pour échapper à des ébats devenus monotones et qui me laissaient sur ma faim. Je m'en suis rendu compte en regardant la télé. Quand il y avait des scènes torrides avec un bel acteur, j'étais tout émoustillée. J'ai alors compris que le problème n'était pas ma libido, mais ma relation amoureuse...»

«Il ne faut surtout pas penser que vieillir conduit fatalement à l'abstinence», précise le D r Robert Sabbah, chef du département d'obstétrique-gynécologie de l'Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal et vice-président de l'Association des obstétriciens et gynécologues du Québec. «La sexualité des femmes plus âgées peut être tout à fait satisfaisante et épanouie. Ce n'est pas la fréquence des rapports qui importe, mais la qualité. Cela dit, de nombreuses femmes ménopausées consultent parce qu'elles ressentent des douleurs ou de l'inconfort lorsqu'elles font l'amour. Ces problèmes causés par les bouleversements hormonaux se règlent en général facilement, surtout quand il s'agit de sécheresse vaginale. On a tort de croire que ce sont les bouffées de chaleur qui influent sur la libido. Le problème, c'est plutôt les insomnies qu'elles déclenchent, car une bonne libido exige un esprit reposé. Mais je le répète, les femmes peuvent avoir des relations sexuelles normales toute leur vie.»

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Mûres pour le plaisir

Mûres pour le plaisir

Une bonne nouvelle, quoi! Dommage qu'on vive dans une société où le culte de la «chair fraiche» est si omniprésent dans l'esprit des gens qu'il devient presque indécent d'imaginer nos grands-parents en train de copuler joyeusement. Comme si la sexualité était réservée aux non-ménopausées! D'ailleurs, passé un certain âge, bon nombre de femmes n'osent pas avouer qu'elles sont toujours friandes de sexe, craignant de passer pour des «salopes» ou des «perverses» (comme en témoignent nombre de sites répertoriés sur Google).

«Globalement, les stéréotypes sociaux sont de plus en plus présents quand on vieillit, souligne Jocelyne Robert. Ça rend difficile le passage vers la ménopause et ça peut avoir un impact sur la libido à cause du regard des autres - surtout si, en plus, on pense que la séduction est une affaire de jeunes.»

Pourtant, plus on avance en âge, plus on a tendance à s'affranchir de bien des préoccupations futiles, du genre «il ne faut pas que j'oublie de rentrer le ventre» ou «qu'est-ce que mon chum va dire s'il voit mes vergetures?». Jocelyne Robert rencontre souvent des femmes qui s'abandonnent peu dans leur vie sexuelle: «Elles sont très préoccupées par leur corps et le besoin de correspondre à un modèle féminin stéréotypé, ce qui peut leur nuire. Car pour triper sexuellement, il faut aimer son corps. Sinon, il est plus difficile de s'ouvrir à l'érotisme. Mais vers la fin de la cinquantaine, on est moins axées sur le paraitre. On a accepté le plaisir de vieillir et on ne joue plus de game . C'est pour ça qu'on parle de femmes de 60 ans un peu débridées sexuellement. Elles ressentent une frénésie de vivre pleinement parce que le temps presse, et ça concerne aussi la sexualité. Je le constate autour de moi chez les femmes de 58 à 62 ans.»

Cependant, comme peu d'entre elles osent en parler ouvertement, j'ai eu un mal fou à trouver une sexagénaire qui assume ses désirs sans trop rougir. «C'est vrai que la sexualité des femmes mures semble être encore un sujet tabou», constate Irène, 62 ans, ex-prof de français. «Comme si on ne faisait que dormir dans un lit dès qu'on a les cheveux gris! Ben voyons, il faut arrêter de se mettre des œillères et regarder la vérité en face: faire l'amour, c'est bon à tout âge. Je mets juste un peu plus de temps avant d'être lubrifiée, mais j'y arrive grâce à mon partenaire, qui sait exactement quels gestes poser pour m'exciter. En fait, c'est ça la grande différence: comme je ne m'en fais plus avec mon apparence, je m'abandonne totalement au plaisir. Et puis, l'appétit vient en mangeant. Alors, comme Angèle Arsenault, moi, je mange! Parce que je me dis qu'on ne sait jamais de quoi demain sera fait.»

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Rallumez la flamme!

Même quand on est follement amoureuses, il nous arrive toutes de traverser un jour ou l'autre une période creuse et d'être alors un peu moins portées sur la bagatelle. Principaux facteurs en cause, d'après le sondage Léger Marketing sur les pratiques sexuelles des Québécoises (2005): la routine, la fatigue et la surcharge de travail. Cela dit, voici quelques pistes pour requinquer une libido en berne...

  • Se mettre au lit une heure plus tôt. Pas nécessairement pour faire l'amour, mais pour avoir un moment à soi sans être accaparée par le budget, les travaux domestiques, les enfants, etc. C'est lorsqu'on n'a rien à faire qu'on reprend plus facilement contact avec son corps.
  • Se masturber plus souvent. Comme le dit l'adage, l'appétit vient en mangeant. La masturbation est aussi un bon moyen de prévenir les problèmes de sécheresse vaginale.
  • S'offrir une semaine de vacances. Pour se reposer, fuir la routine et, surtout, retrouver le plaisir - l'objectif étant d'accorder un peu plus de place à l'érotisme.
  • Faire de l'exercice physique. Bouger nous permet non seulement de perdre du poids et d'avoir une meilleure image de soi, mais aussi de se sentir mieux dans sa peau et de gagner en souplesse (très pratique pour essayer de nouvelles positions!).
  • Découvrir ce qu'on aime vraiment et le mettre en pratique... même si c'est un peu cochon. «Une vie sexuelle réjouissante est accessible à tout le monde, affirme la sexologue Jocelyne Robert. S'il n'y a pas de secrets ni de recettes miracles pour y accéder, il faut néanmoins se l'approprier, lui faire de la place et oser!»

La libido sur méno «pause» ou méno «play»?

Lorsqu'on met pour de bon à la poubelle serviettes hygiéniques et tampons, il arrive que le désir sexuel en prenne un coup. Il ne faut pas se le cacher: si certaines femmes ont alors la cuisse - et la conscience! - légère parce qu'elles peuvent enfin faire l'amour sans contraceptifs, d'autres sont minées par les bouffées de chaleur, les insomnies, les maux de tête, les infections urinaires ou la sécheresse vaginale, qui entraine très souvent des douleurs au moment du coït. Comme si ce n'était pas assez, la ménopause soulève chez bon nombre de femmes bien des questions sur la vieillesse, l'estime de soi ou les risques accrus de développer un cancer. Bref, une période aussi trouble que troublante, qui en affecte plusieurs... jusque sous l'édredon. Et puis, il y a le fameux débat sur les hormones. Chez les professionnels de la santé, deux clans s'affrontent: ceux et celles qui croient que les bouleversements hormonaux liés à la ménopause n'ont aucun impact sur la libido, et les autres qui pensent tout le contraire. Qui a tort? Qui a raison? N'hésitez pas à commenter cet article.

La version originale de cet article a été publiée dans le numéro d'automne 2008 du magazine Vita .

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Commentaires

  • Bluemoon's avatar Bluemoon a écrit :

    2009-04-29 8:56 AM

    Cet article m'a beaucoup interessée. J'ai 53 ans, je travaille avec des femmes de tous âge et on parle beaucoup de sexe. Je peux vous dire que nous, les 50 et +, sommes beaucoup plus épanouies et ouvertes que les plus jeunes. J'ai vu des jeunes femmes pour qui le fellation est encore un acte dégoutant! Alors parler de relations anales...Je suis ménopausée mais loin d'être sur pause. Le sexe n'a jamais été meilleur que maintenant. Alors mes cocotte quinquagénaires,...à vos couettes et amusez-vous!
  • gynna's avatar gynna a écrit :

    2009-05-05 10:11 PM

    Généralement ont met la faute sur la libido à 50ans. Moi je dirais que c'est plutôt les hommes qui n'ont jamais su faire ce qu'il fallait pour que leur conjointe est du désir et surtout du plaisir. Alors je dirais que beaucoup d'hommes auraient besoin de cours de sexualité 101 102 103 etc............
  • tally_07's avatar tally_07 a écrit :

    2009-05-31 10:27 AM

    Je peux vous dire, que ma sexualité est même meilleur,je ne prends aucune hormone, et ma libido est au plafond,. J'ai 56 ans et c'est meilleur que jamais, il faut dire que la sexualité fait parti pour moi a 50% de ma vie de couple, si cela ne fonctionnait pas, mon couple serait pour moi fragile, cela est bien important pour moi. Le secret je crois est d'apprivoiser leur corps et apprendre a s’aimer. Je crois au contraire que plus on avance en âge et plus on se connaît, plus la libido est présente. Ne lâchez pas les femmes, aimer vous, le clé du succès.
  • man58's avatar man58 a écrit :

    2009-11-13 2:35 AM

    Bonjour, je suis une femme de 51 ans qui est ménopausée, et je dois avouer que la ménopause m'a causé énormément de problème. Je dois avouer que mon libido en a pris un coup et depuis environ 1 ans je n'arrive plus à retrouver l'exitation que j'avais. Donc, je crois que oui la ménopause peut être la cause d'une descente drastique du libido, surtout lorsque celle-ci est accompagné d'une dépression....hum!!!! pas facile de vieillir.....non? Manon
  • Centaure's avatar Centaure a écrit :

    2010-01-05 9:20 AM

    Mariée à 20 ans, j'ai connu tout le sexe dont j'avais besoin, et il est vrai que l'on se sent bien, mais attention de ne pas avoir même le courage ou la force de riposter quand c'est le temps....Divorcée à 34 ans, j'ai connu un gros manque, mais finalement pour découvrir que les hommes ne font pas tous l'amour de la bonne façon et que 80% ne savent pas s'y prendre...je sais que les femmes peuvent avoir une libido comparable à l'homme, mais elles ne semblent pas le savoir. Je vous invite mesdames à dire ce que vous aimez...J'ai 64 ans et j'ai encore une libido. Centaure.
  • Taph's avatar Taph a écrit :

    2010-01-06 8:27 AM

    Vous savez, c'est toujours les mêmes problèmes qui sont les nôtres ou pas. Ca se passe dans chaque couple d'une manière ou d'une autre. Les hommes font l'amour pour régler des conflits, les femmes veulent le faire après avoir reglé le conflit. Monsieur a ses heures, Madame les refuse. Madame veut traîner au lit et s'envoyer en l'air, Monsieur est déjà debout à poirotter dans la cuisine et s'enferme éventuellement dans le garage. Je n'ai aucun doute que la libido des femmes soit haussee par l'age mais elles ne veulent pas s'exciter au mauvais moment pour toutes sortes de raisons. Les hommes sont un peu las de se faire passer pour des cochons alos que Madame ne veut pas et après l'amour, ils ne veulent que dormir paisiblement. Ça résume bien les choses, n'est-ce-pas ?
  • Teck's avatar Teck a écrit :

    2010-01-16 9:12 AM

    ma femme a 38 ans et a des problemes comme si elle etait en menopause douleur lorsqu'ont fait l'amour pis la libido a 0 (tres sec en bas) moi je suis un homme qui en na tres besoin pis elle pas du tout imaginez les compflits que ca implique... ca fais 6 mois quelle attend un rendez vous chez le gynecologue quelle va avoir en fevrier donc ca fais 6 mois que jai rien fait avec .... je l'aime beaucoup ma blonde ca fais 12 années je suis avec ... pis je suis pas un gars qui va tromper ca blonde ... mais sans sexe je commence a capoter ... je veux pas la laisser car je l'aime et je ne peux la tromper car je suis ne suis pas comme ca .... je me demande bien comment ca va finir si ca continu de meme ... je pleur souvent car je suis dechiré l'amour ou le sex ?
  • Teck's avatar Teck a écrit :

    2010-01-16 2:07 PM

    je pense que j'ai trouvé le problème vous allez dire je suis determiné mais bon ... jpense qui faut le dire car toutes les couples peuvent etre touché par ca NE PRENEZ JAMAIS DEPO PROVERA c'est exactement ce qui ce passe je comprend tout ca devrait etre interdit ... donc asteur j'attend quelle arrive et je lui montre ca ca fais 1 ans quelle prend ca http://www.fqpn.qc.ca/contenu/contraception/methodes/hormonales/depoprovera.php http://www.epinions.com/content_23693069956 http://www.alternet.org/story/12087/
  • Teck's avatar Teck a écrit :

    2010-01-16 2:09 PM

    wow ils colle le texte EFFETS INDÉSIRABLES L’injection contraceptive est un contraceptif sur lequel les femmes n’ont pas de contrôle. Une fois injecté, son effet se prolonge durant trois mois. Ainsi, en cas d’effets indésirables importants, les femmes ne peuvent pas cesser son utilisation. Les réactions de chaque femme à la prise d’hormones sont uniques. Néanmoins, voici la liste des effets indésirables les plus fréquents, en ordre d’importance : irrégularités menstruelles : saignements irréguliers ou imprévisibles ou, plus rarement, saignements abondants et continus ; absence de menstruation (chez plus de 55 % des femmes après une année d’utilisation) ; gain de poids [note 2]; maux de tête ; troubles abdominaux (crampes, ballonnements de l’estomac ou de l’intestin) ; nervosité ; étourdissements ; baisse de la libido ; fatigue chronique ; nausées ; hypersensibilité des seins ; sentiment de dépression ou aggravation d’un état dépressif.
  • Teck's avatar Teck a écrit :

    2010-01-16 2:10 PM

    elle a tout c'est problemes
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