LES LIVRES DE CAFÉ DE FLORE
        
        
        
         
          Joëlle Currat nous propose de nous plonger dans le monde littéraire du film
          
           Café de Flore
          
         
         
          On est nombreuses à avoir aimé ce film et à être tombées en pâmoison devant le beau Kevin Parent. Pour prolonger le plaisir, on peut se procurer le superbe ouvrage
          
           Café de Flore
          
          (Alto) et se délecter des magnifiques photos des protagonistes et du plateau.
         
         
          Dans plusieurs scènes tournées dans l’appartement de Carole, le personnage d’Hélène Florent, on voit des livres empilés à côté du lit. Et au fil de l’histoire, on comprend qu’elle y cherche un sens à ce qui lui arrive et une certaine paix. Voici quelques-uns de ces titres:
         
         
          
           
            Quiétude – À l’écoute de sa nature essentielle
           
          
          Eckhart Tolle (Ariane, 2003)
          
          Dans cet ouvrage, l’auteur du bestseller Le pouvoir du moment présent nous invite à retrouver la paix qui règne au-delà de nos pensées et de nos émotions.
         
         
          
           
            Le futur de l’amour – Le pouvoir de l’âme dans les relations intimes Daphné
           
          
          Rose Kingma (Ariane, 2002) L’écrivaine propose de fonder nos relations amoureuses sur de nouvelles bases en y incluant la dimension spirituelle.
         
         
          
           
            La vie des maîtres
           
          
          Baird T. Spalding (Robert Laffont, 1972) Un classique du genre. Dans ce récit, des scientifiques américains voyagent en Inde et au Népal à la rencontre de maîtres spirituels orientaux.
         
         
          
           
            La version originale et intégrale de cet article a été publiée dans le numéro décembre 2011-janvier 2012 du magazine Vita
           
          
          
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         RÉVOLUTION CHEZ LES TOUT-PETITS
        
        
        
         
          La journaliste Pascale Navarro à découvert Egalia, une école maternelle de Stockholm (Suède), où on a décidé de bannir les pronoms (pas de
          
           il
          
          ni de
          
           elle
          
          ) pour désigner les enfants et de mettre au rebut les traditionnels contes de fées, truffés de personnages stéréotypés et cucul. Certains parents sont outrés, d’autres crient au génie. Deux spécialistes donnent leur point de vue.
         
         
          « De nombreux établissements font déjà le tri dans les jouets et les livres offerts aux bambins. Ce qui est charrié, c’est de faire de l’absence de genre un programme pédagogique. Pas sûre que c’est très sain: l’enfant se perçoit d’abord comme un garçon ou une fille avant de se voir comme un être humain. Et l’identité sexuelle est un élément clé de… l’identité tout court. »
          
          
           Jocelyne Robert
          
          , sexologue et auteure.
         
         
          « On peut se demander comment ces enfants réagiront plus tard. Mais le monde est tellement rempli de stéréotypes que cette expérience, de courte durée, ne peut pas leur faire de tort. Je suis plus inquiète à propos des gens qui sont scandalisés. Si un petit gars trouve une barrette par terre et se la met dans les cheveux, ce n’est pas grave! De quoi ont-ils peur? »
          
          
           Isabelle Boisclair
          
          , professeure de littérature à l’Université de Sherbrooke et auteure
         
         
          
           La version originale et intégrale de cet article a été publiée dans le numéro décembre 2011-janvier 2012 du magazine Vita
          
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         SUPERBES VITRINES DE NOËL!
        
        
        
         
          Chaque année, les grands magasins décorent leurs vitrines pour susciter l’émerveillement et… nous faire dépenser! Ce qui ne les empêche pas de «donner au suivant» en parrainant de bonnes causes. Eve Boissonnault, nous en présente trois.
          
          
         
         
          
          
         
         
         
          
           Le site
          
          Ogilvy, Montréal.
          
          
           Le décor
          
          Depuis 1947, le grand magasin de la rue Sainte-Catherine orne sa devanture avec une collection d’animaux mécaniques en peluche fabriqués en Allemagne.
          
          
           La cause
          
          La Fondation CHU Sainte-Justine, au profit de laquelle une soirée shopping et gastronomie est organisée fin novembre.
         
         
         
          
           Le site
          
          Galeries Lafayette et Printemps, Paris.
          
          
           Le décor
          
          Deux magasins, deux styles de décoration. Les grandes adresses du boulevard Haussmann rivalisent d’originalité avec des thèmes comme la comédie musicale ou Noël au château.
          
          
           La cause
          
          L’association Toutes à l’école, qui donne accès à l’éducation à des fillettes du monde entier.
         
         
         
          
           Le site
          
          Selfridges, Londres.
          
          
           Le décor
          
          Plus modernes et design que les précédentes, les vitrines du magasin de la rue Oxford sont également décorées selon des thèmes, comme la pantomime ou la famille. On peut aussi y visiter la fameuse grotte du père Noël à bord du Santa Express.
          
          
           La cause
          
          L’organisme Kids Company, qui vient en aide aux enfants démunis.
         
         
          
           La version orginale et intégrale de ce billet à été publiée dans le numéro décembre 2011-janvier 2012 du magazine Vita.
          
         
         
          - Rim
         
         
         
         
        
         
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