Blogs sur Vita Magazine

24 août 2010

Miroir, miroir, tais-toi…

Classé dans : Magazine Vita Sylvie Poirier @ 8:55

Billet de Sylvie Poirier, rédactrice en chef de Vita
Publié dans le numéro de Septembre 2010

Depuis quelques années, j’évite le plus possible les miroirs et autres surfaces réfléchissantes. Et lorsque j’ose me mirer, les lumières tamisées comme toujours (aucun danger d’être éblouie ou d’avoir des cataractes, chez moi), je scanne ma silhouette en omettant soigneusement les détails. Pourtant, dès que je me retrouve sous les néons au bureau ou dans une cabine d’essayage quelconque (il faudra m’expliquer un jour pourquoi l’éclairage y est tellement déprimant, à moins qu’il ne reflète la réalité…), mes cernes, mon teint gris, mes boutons, mes rides, mes sourcils échevelés, ma repousse archidue ne manquent pas de me sauter aux yeux.

Eh oui, c’est comme ça, dès que je me vois dans la glace, je ne peux m’empêcher de penser: «Il me faudrait un lifting du visage… euh… peut-être aussi du cou; et tiens, pourquoi pas du ventre. Et tant qu’à y être, je pourrais me faire remonter les cuisses, les bras, les fesses, les genoux, le dos… le moral! Deux ou trois injections par-ci par-là ne seraient pas un luxe. Un traitement au laser pour gommer les taches et les rides superficielles ne ferait pas de tort.» En fait, une combinaison de plongée serait plus appropriée… et plus économique.

Pourquoi nos petits (et moyens) défauts monopolisent-ils toute notre attention (la mienne, trop souvent)? Pourquoi sommes-nous si exigeantes et parfois intransigeantes quand il s’agit de notre apparence? Pourquoi, dès le réveil, se met-on en mode dévalorisation? Pourquoi cherchons-nous méthodiquement la petite bête molle? Notre cerveau serait-il aussi déformant que notre miroir? Ma boule de cristal ne me permet pas d’y voir clair.

Mais vous, chères lectrices, vous avez su répondre à ces questions. De toute évidence, vous avez cliqué sur notre sondage Les Québécoises aiment-elles leur corps? puisque vous avez été plus de 3000 à vous prononcer sur le site de Vita. Les résultats de vos réflexions ont été compilés, digérés, analysés, et vous sont dévoilés dans notre reportage publié dans le numéro de Septembre. Ce qui ne nous étonne pas? Notre légère tendance (mais lourde de contradictions) à être obnubilées par la minceur et la jeunesse. Ce qui vous surprendra peut-être? Après 40 ans, nous nous calmons côté obsessions. L’apparence compte toujours, mais nous nous soignons! Nous privilégions davantage le bienêtre, la santé, la sensualité. De quoi nous rasséréner et nous rassurer.

On y apprend aussi que les femmes dans la cinquantaine en ont assez de se regarder le nombril (gros, laid et vieux, bien sûr) et décident d’en finir une fois pour toutes avec la tyrannie du miroir. Ah bon? L’évidence, l’indulgence, que dis-je l’intelligence nous frapperait de plein fouet après 50 ans? La sagesse viendrait avant la sénilité? Je veux bien croire qu’avec l’âge je deviendrai plus bouddhiste que boudin, mais d’ici là, j’attends l’illumination.

Ciel, mes REER vont peut-être survivre au Botox. Je respire…

13 juillet 2010

Survivantes recherchées!

Classé dans : Magazine Vita Elaine Labrecque @ 9:03

L¹équipe du magazine Vita aimerait faire vivre un moment unique à trois survivantes du cancer du sein , soit une métamorphose dont les photos seront publiées en octobre, dans un numéro spécial dédié à la cause du cancer du sein. Au programme: coloration capillaire, coiffure, maquillage, conseils de stylisme et séance de photos avec les pros du magazine Vita .

Important:les candidates doivent être âgées de 40 ans et plus et accepter de voir leur photo publiée dans le magazine. Elles doivent également pouvoir se libérer une journée d’ici la fin du mois d’août pour la séance photo.

Si vous ou une personne que vous connaissez êtes intéressée par le projet, faites-nous parvenir trois photos (un portrait, une photo plein pied et l’autre au choix) à l’adresse suivante: [email protected] avant le 16 juillet 2010 .

14 juin 2010

Êtes-vous prise en sandwich?

Classé dans : Magazine Vita Louise Richer @ 10:50

Vous sentez-vous souvent dépassée par vos obligations familiales? Toujours coincée entre vos parents en perte d’autonomie et vos enfants qui réclament encore votre attention? Si tel est le cas, VITA aimerait connaître les difficultés auxquelles vous êtes confrontées et les moyens que vous utilisez pour alléger la situation. Une de nos journalistes, qui prépare actuellement un article sur la génération sandwich, est à la recherche de témoignages de femmes concernées par cette double responsabilité. Faites-lui parvenir vos coordonnées ainsi qu’un bref résumé (200 mots maximum) de votre cas particulier à l’adresse suivante: [email protected]
On a hâte de vous lire!

P.-S.: Le magazine VITA contactera seulement les lectrices dont les témoignages seront retenus pour le reportage.

10 mai 2010

S.O.S. Témoignages recherchés

Classé dans : Magazine Vita Louise Richer @ 10:28

Qui paie les études de vos enfants?
Avez-vous assumé le coût des études de vos enfants… ou prévoyez-vous le faire sous peu? Si tel est le cas, VITA aimerait connaître votre stratégie financière. Une de nos journalistes, qui prépare actuellement un reportage sur le financement des études postsecondaires , est à la recherche de témoignages de femmes ayant défrayé la formation collégiale ou universitaire de leurs enfants. Faites-lui parvenir un bref message décrivant vos trucs à l’adresse suivante: [email protected]
N’oubliez pas d’inclure vos coordonnées pour qu’elle puisse vous joindre!

Que sont devenues vos copines de classe?
Avez-vous déjà assisté à une soirée-retrouvailles avec vos anciennes camarades de classe? Cette rencontre a-t-elle eu lieu après vos 40 ans? Si vous avez répondu «oui» à ces deux questions, VITA aimerait savoir à quel point l’expérience vous a plu. La reporter Annick Duchatel, qui publiera bientôt un article sur les conventums , est à la recherche de femmes qui ont déjà participé à ce genre d’événement. Transmettez-lui vos coordonnées ainsi qu’un bref résumé (200 mots maximum) de vos retrouvailles à l’adresse suivante: [email protected]
On a hâte de vous lire…

P.-S.: Le magazine VITA contactera seulement les lectrices dont les témoignages seront retenus pour fins de reportage.

27 avril 2010

Histoire de pêche…

Classé dans : Magazine Vita Sylvie Poirier @ 11:06

Vous ai-je déjà dit à quel point le camping m’inspire misère et frayeur? Eh bien, laissez-moi vous le redire: je déteste les tentes, les roulottes, les feux de camp, les papillons de nuit et la promiscuité.

Pourtant, j’aime la campagne: je viens du Lac-Saint-Jean. On parle ici de forêt boréale, de lacs incroyables, de rivières sauvages, des plus gros bleuets au monde (qui sont en fait les plus petits), des atocas (canneberges pour les non-initiées) les plus antioxydants sur la planète!

Malgré ces origines rurales, je ne possède aucun gène actif de coureuse des bois, même si j’ai une Micmaque de la Gaspésie parmi mes aïeules et que mes parents adoraient camper, pêcher et chasser.

L’idée de dormir dans un camp de fortune au coeur d’une faune de mulots, de mouches noires, de taons à cheval, de limaces gluantes, de fourmis dévoreuses d’orteils, de renards roux, de loups blancs (on ne les trouve qu’au zoo de Saint-Félicien, mais on ne sait jamais…), d’ours noirs, de chouettes au regard terrifiant, d’orignaux en rut et d’araignées velues (il paraît qu’elles ne sont pas poilues par chez nous) ne m’inspire pas plus qu’il le faut.

«Mais voyons, on est tellement bien dans la forêt, loin du brouhaha de la ville [qui a dit ça?], de la pollution [ça reste à prouver], du bruit [pas d’accord], du stress [vraiment pas d’accord].»

Je n’ai jamais compris pourquoi certains hommes s’excitaient tant à la seule pensée d’une partie de pêche ou de chasse, loin de leur cocon, d’une douche chaude, d’un lit douillet…

Pourtant, inutile de chercher midi à quatorze heures, les raisons sont évidentes: jouer à Daniel Boone, c’est s’éloigner du quotidien, des problèmes de couple, de famille, d’argent, de travail; c’est fuir la routine, l’ennui… C’est respirer un bon coup et se permettre d’être soi-même. Pas besoin de parler (ou si peu), de se laver (ou si peu), de se raser (ou si peu), de ranger (ou si peu), de cuisiner (ou si peu), de penser (ou si peu).

Au plaisir de la nature, de l’isolement, de la camaraderie et de la simplicité volontaire s’ajoute un sentiment de liberté, de quiétude, de paix. De sainte paix!

Si je n’avais pas peur de mon ombre, des bestioles et du noir, je ferais comme ces femmes qui ont découvert les joies de la pêche entre membres de la même espèce (voir notre reportage «Une femme à la pêche!» dans le dernier numéro de Vita ) et je profiterais de ce répit pour refaire le plein, rigoler avec mes copines et, pourquoi pas, taquiner le poisson.

Mais malgré la perche tendue par notre journaliste — qui a trouvé l’expérience miraculeuse —, je ne mordrai pas à l’hameçon, point à la ligne. Quant à vous, rien ne vous empêche de prendre le brochet par les nageoires et de vivre une aventure frétillante. En plus, vous percerez LE grand mystère masculin… Allez mesdames, on ne loupe pas la chaloupe!

De bonnes adresses…
Ça y est! Notre rédactrice en chef vous a convaincue, mais vous ne savez pas où aller? Consultez nos bonnes adresses dans cet article Pourvoiries: Pêche pour elles…

16 avril 2010

Sondage - Les femmes aiment-elles leur corps?

Classé dans : Magazine Vita admin @ 7:41

Vita veut savoir ce que les Québécoises de 40 ans et plus pensent de leur physique; si elles sont indulgentes ou intolérantes envers leur corps; si elles se sentent bien dans leur peau ou non… Voilà pourquoi nous vous demandons de réfléchir avec nous sur ce sujet délicat en répondant à nos questions. Les résultats globaux de cette enquête paraîtront dans notre numéro de septembre.

Concours: Un weekend pour deux à gagner!
Prenez part au sondage et courez la chance de gagner un weekend pour deux dans un établissement du réseau Hôtellerie Champêtre.

Pour participer, cliquez sur ce lien: Sondage Vita: Les femmes aiment-elles leur corps?

Allez! N’hésitez pas, cliquez! Nos questions vous feront sourire et ne prendront que quelques minutes de votre temps.
Nous avons hâte de connaître votre opinion!
L’équipe Vita

22 mars 2010

Chaque chose à sa place…

Classé dans : Magazine Vita Sylvie Poirier @ 8:35

et les obsédées seront bien gardées.

Il y a quelques années, j’étais, disons, très organisée. Aujourd’hui, je le suis plus raisonnablement (enfin, c’est mon avis). Mes armoires de cuisine ne supportaient pas qu’un verre à eau se retrouve à côté d’une coupe à champagne, qu’une tasse en porcelaine côtoie une tasse en céramique, qu’un bol à soupe fricote avec un bol à dessert. La première étagère de ma lingerie hébergeait les débarbouillettes (empilées par couleurs), la deuxième et la troisième, les serviettes (superposées par textures), la quatrième, les produits de toilette (rangés par grandeurs et grosseurs). Ma garde-robe se targuait de présenter mes vêtements de façon logique et pratique: ceux de la semaine au centre, classés par kits; ceux des sorties plus chics à droite; ceux du weekend au fond à gauche. Les objets décoratifs avaient une place assignée: un centimètre à côté, tout était déséquilibré; un centimètre plus bas, ça n’allait pas.

Mon frigo était le maître incontesté de la gestion par associations: les légumes avec les légumes, les fruits avec les fruits, les liquides avec les liquides, je pense que vous avez compris le principe. Pourtant, mes enfants ne semblaient pas saisir l’importance de cette organisation. Ma fille rangeait le lait avec le jus, même s’il est évident que le lait fait partie du groupe des produits laitiers, on s’entend. Mon fils, pas plus sensible à ma cause, garrochait la bouteille de ketchup à côté de la sauce soya: comment pouvait-on être aussi inconscient? J’avais beau expliquer, dans un élan irrité, que la sauce soya — tout comme la tamari et la hoisin — logeait au clan des sauces aux huîtres, au poisson et au piment, et qu’elle n’avait, mais alors là, rien à voir avec la moutarde, la mayonnaise, les cornichons sucrés, la relish et autres condiments, il n’y avait rien à faire. Tour à tour, Alex plaçait le beurre avec les oignons (sacrilège!) et Valérie cachait le fromage avec les pommes de terre (hérésie!). Mais qu’y avait-il de si compliqué à comprendre là-dedans?

Ma bibliothèque est encore classée par ordre alphabétique d’auteurs (sinon, comment s’y retrouver?), ma pharmacie a un agencement bien précis (les produits de beauté à gauche, les dentifrices et compagnie au centre, les médicaments à droite), les tiroirs de cuisine — et seulement eux! — ont le droit de manifester un certain désordre, mais les objets doivent appartenir à la même catégorie: celui du haut accueille les ustensiles, celui du milieu, les linges à vaisselle, et celui du bas, les cossins (ampoules, tournevis, papier alu, chandelles, marteau…). Pas besoin de vous dire que ce dernier tiroir m’obsède! Mais bon, avec le temps, j’ai appris à lâcher le morceau, ou presque.

Là où je perds véritablement le contrôle, c’est dans la façon de gérer mes placards et mes hangars: peu importe mes tentatives semestrielles de grand ménage, un bordel certain finit par s’installer. Et savez-vous quoi? Je m’en contrefous! Incroyable! Je suis de plus de plus détendue au sujet de l’astiquage et du rangement. Mais un fait demeure: l’organisation me permet de gagner temps et énergie. Lorsque mon espace vital est rangé, mon cerveau est rassuré et peut travailler «l’esprit» en paix.

J’ignore toujours si je fais partie des obsédées (voir notre reportage «Peut-on être trop organisée?» dans notre dernier numéro d’avril), mais je crois que mon besoin de savoir exactement où se trouvent les objets de la vie courante, de tenir à tout faire à la perfection, d’être plus ponctuelle que la reine d’Angleterre, d’avoir de la difficulté à déléguer, de vouloir être la meilleure, la plus efficace et la plus performante relève du même axiome: la peur de perdre le contrôle. Je l’avoue et j’y travaille. Et vous?

25 janvier 2010

Ce que femme veut…

Classé dans : Magazine Vita Sylvie Poirier @ 10:15

Billet de Sylvie Poirier, rédactrice en chef de Vita
Publié dans le numéro de Février-mars 2010
[email protected]

Avoir 40 ans et plus aujourd’hui, c’est fantastique! On peut faire à peu près tout ce qu’on veut. On est libre d’être en couple ou pas, d’avoir des enfants ou pas, de miser sur sa vie professionnelle ou pas. On peut opter pour le mariage, l’union civile, le concubinage, le célibat, le batifolage; on bénéficie de congés de maternité avantageux; on a la possibilité de faire carrière en politique, en affaires, en sciences, en ingénierie, en cinéma, en astronomie, en restauration, en diplomatie, en édition… Bref, nos rêves sont accessibles, possibles. Ce qui n’a pas toujours été le cas, ne l’oublions pas. Aurait-on atteint le nirvana? N’exagérons pas. Mais on ne lâche pas. Le féminisme nous a ouvert toutes les voies. C’est un constat, pas la fin du combat.

Ceci expliquant cela, on se rapproche merveilleusement (ou dangereusement) de notre objectif: être tout ce que les hommes peuvent être. Mais sans le débordement de testostérone, sans les poils, sans leur incapacité à faire deux choses en même temps, sans leurs nombreuses (et parfois injustifiées) crises d’hystérie au volant, sans le garage aux mille cossins, sans les parties de chasse à la bière, sans les matchs de boxe… sans la Cage aux Sports.

Oui, la vie nous intéresse. Oui, on se lance. Oui, on peut tout réaliser. Oui, on connaît les aléas de l’émancipation. Et oui, on les assume. On peut, par exemple, se retrouver le bec à l’eau si on se sépare de notre conjoint et qu’aucun contrat ne nous protégeait (voir notre reportage «Pacte conjugal: mieux vaut prévenir que guérir», p. 71).

On peut, du jour au lendemain, frapper un mur d’incompréhension si notre époux nous laisse pour… un homme! («Il m’a quittée pour un homme!», p. 74). On peut espérer le prince charmant pendant au moins cent ans depuis que le flirt a été décrété dépassé («Je te drague… moi non plus», p.61). On peut devenir rouge comme une tomate et ruisseler telle Jeanne d’Arc sur le bûcher en pleine réunion de direction quand une chaleur nous consume («La méno au bureau: attention, j’ai chaud!», p. 66).

Jojo ou pas, la liberté nous va bien, et on y tient. Comme le chanterait judicieusement Ariane Moffatt, «on veut tout, ici et maintenant…» On veut la santé, l’amour et l’amitié, le boulot rêvé, le cottage «détaché», la Mini Cooper décapotée, les sacs griffés, les produits de beauté… On veut tout. Et on mérite tout.

La seule chose qui ne nous soit pas accessible, c’est la vie éternelle. Pour le moment. Mais la bonne nouvelle, c’est que plus on est optimiste, plus on est heureux, plus on a de chances de vivre longtemps («L’optimisme, c’est positif!», p. 107).

Alors, on se fait plaisir, ça garde jeune…

21 décembre 2009

Vous avez tout changé?

Classé dans : Magazine Vita Louise Richer @ 9:47

Connaissez-vous une femme qui a fait de grosses folies – du genre plonger dans une folle aventure avec un parfait inconnu, plaquer mari et enfants, partir au bout du monde en voilier, quitter son boulot sur un coup de tête, se faire tatouer ou « piercer » – à 40 ans et plus? Si oui, VITA veut la connaître aussi! Une de nos journalistes, qui prépare actuellement un reportage sur la crise de la quarantaine , est à la recherche de témoignages percutants de femmes concernées par le sujet. Faites-lui parvenir vos coordonnées ainsi qu’un bref résumé (200 mots maximum) de vos folies à l’adresse suivante: [email protected]
On a hâte de vous lire!

P.-S.: Le magazine VITA contactera seulement les lectrices dont les témoignages seront retenus pour le reportage.

7 décembre 2009

Aventurières recherchées

Classé dans : Magazine Vita Louise Richer @ 10:38

Connaissez-vous une femme qui a fait de grosses folies – du genre partir au bout du monde en voilier, plaquer mari et enfants, quitter son boulot sur un coup de tête, se faire tatouer ou « piercer », plonger dans une folle aventure avec un parfait inconnu – à 40 ans et plus? Si oui, VITA veut la connaître aussi! Une de nos journalistes, qui prépare actuellement un reportage sur la crise d’adolescence à retardement , est à la recherche de témoignages percutants de femmes concernées par le sujet. Faites-lui parvenir vos coordonnées ainsi qu’un bref résumé (200 mots maximum) de vos folies à l’adresse suivante: [email protected]
On a hâte de vous lire!

P.-S.: Le magazine VITA contactera seulement les lectrices dont les témoignages seront retenus pour le reportage.

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